Sur les vastes mers où l’horizon danse,
Les pirates arborant un symbole, une transe.
La tête de mort, emblème mystique,
Flottant au vent, une énigme artistique.
Une danse macabre sur pavillon noir,
Les os croisés, un langage sans espoir.
La peur enroulée dans des orbites vides,
Un avertissement, un destin morbide.
Sur les flots tumultueux, une symphonie,
Le Jolly Roger, une mélodie infinie.
Un sablier cruel, le temps se défile,
Les marins savent, la mort est habile.
Un code non verbal sur les vagues salées,
Un rêve sombre dans la nuit étoilée.
Identité forgée dans l’obscurité,
La piraterie, un conte de brutalité.
Mystique et légendes, par le ressac portées,
Les pirates sculptent leurs propres voies.
Des histoires tissées dans des drapeaux noirs,
Des récits ancrés dans l’éternité du soir.
La dissuasion flotte, telle une ombre,
Les crânes parlent d’un destin sans nombre.
Une justice pirate, sablier éternel,
Le choix dictant un voyage vers le ciel.
Ainsi, les têtes de mort sur l’océan,
Une danse entre le terrestre et l’inhumain.
Symboles iconiques d’une époque révolue,
Mais dans l’âme des pirates, une vie continue.